Palais des Sens (suite et fin)

30 novembre 2007

logo_pls Au fond d’une pièce, un grand jacuzzi dégage un voile de vapeur, d’où quelques ombres s’en échappent. On devine des couples qui s’embrassent sans retenue, des chevauchées burlesques, des bustes qui se cambrent dans un fonds de râle et de rires… Continuant notre parcours, nous découvrons des alcôves confortables et fortes accueillantes pour profiter des plaisirs de la chair. Juste sous le faîte se niche un grand matelas que nous décidons d’investir. Sous les poutres, la vue plonge sur un immense lit où des couples nus sont allongés. L’excitation est au comble, en un rien de temps nos nymphes ont perdu le peu de lingerie qu’elle porte. Vic et Diablotinne présentent leur intimité à nos langues pour des caresses juteuses alors qu’elles s’embrassent à pleine bouche. Les préliminaires sont crus, les tétons sont mordillés avec une terrible excitation. La température monte, Diablotinne écarte largement les jambes pour présenter sa vulve lisse et luisante à mon sexe. Comme un aimant, il glisse, coulisse et pistonne dans un océan de cyprine. Côte à côte, Vic et Nic sont dans la même position à prendre du plaisir. Les filles baladent leurs mains sur les corps en ébullition, explorent les recoins les plus audacieux. Ma belle désire passer en levrette, ses fesses exposées ainsi sont prises à pleine poigne. Les coups de butoir sont barbares et violents mais Diablotinne proteste pour que je la prenne plus fort. Mes paumes se plaquent et s’agrippent de chaque côté de sa croupe pour mieux la prendre, la pénétrer jusqu’à la garde sans rien perdre. Elle en veut tellement que la liqueur en coule le long des cuisses, nos corps suintent, on tente de se retenir pour faire durer la partie. Accroupie, Victoria s’enfourche sur Nic dans un mouvement de balancier infernal. Ses lèvres avides de sexe ne perdent pas un centimètre de plaisir. Elle aussi en réclame plus et s’extase du pieds qu’elle prend sur son homme. Puis l’extrême alchimie devient explosive, c’est la surchauffe, la sueur coule sous l’effort, puis l’éjaculation, l’orgasme !