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Le Blog de Diablotinne
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23 juillet 2007

Petite sieste crapuleuse

07_07_23

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Le sommeil de Diablotinne!

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Lendemain de fête, pas facile d’assumer la journée qui va suivre. A travers les volets, les rayons du soleil nous annoncent une journée estivale, ça nous aidera pour la récupération des folies de la nuit. A la suite du petit déjeuner, Diablotinne ne se fait pas prier pour laisser tomber son training à la remontée du lit. Nue, élégante, les cheveux ébouriffés, elle replonge dans les draps encore froissés. Mon esprit coquin du matin lui propose une brève caresse afin de retrouver au plus vite le sommeil après l’extase. Elle accepte avec plaisir ma lubrique proposition mais ça doit aller vite, elle est épuisée. Avachie sur le dos, je l’installe confortablement avec l’oreiller sous la tête, relève les cuisses, écarte les genoux afin de rendre son bijou facilement accessible. Sans perdre de temps, je mets en branle le vibro qui est dans tous ses états, il n’a pas besoin de se coller longtemps au bouton de ma belle pour faire ses premiers effets. Des légers tremblements se font déjà sentir le long de son corps. Mes doigts dégagent plus largement ses petites lèvres pour mieux admirer son clitoris qui sort timidement. Sa main empoigne mon sexe pour me caresser alors que mes yeux se délectent du décor rose pastel, humide, une délicatesse excitante. Finement, j’appuie autour de son bouton pour le décalotter et l’atteindre au plus sensible. Je plaque le vibro contre, les palpitations montent. Les doigts fins de Diablotinne viennent m’aider à gérer l’extase. Les jambes crispées, elle murmure quelques sons durant ce moment jouissif, c’est court mais drôlement bon de la voir jouir ainsi.

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07_07_23b

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Commentaires
O
quel cul a faire bander un eunuque(et moi avec)!lol!
N
Femme que vous êtes jolie!....<br /> Pourquoi, hommes que nous sommes, sommes-nous en extase devant un corps qui s'abandonne? Est-ce nos instincts primitifs de chasseur qui nous rendent attentifs, aux aguets du moindre événement caressant notre soif de conquête avec pour seul but, un désir de s'abreuver à la coupe de la féminité abandonnée.<br /> Volupté, émoustillement des sens, verge frémissante devant ce décor planté. De ce corps vu dans lesquel je planterai volontiers mon mât dans le méat de cette jolie diablesse offerte à ma convoitisse.....Il me faudra sérieusement envisager quelques vacances chez les Helvètes pour qu'enfin je puisse respirer l'air pur de leurs vallées...
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